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Blog de Jean Gabard - Page 11

  • Harcèlement en milieu scolaire

     

     

    Il faut bien voir que la tendance actuelle d'uniformisation sexuelle est inouïe dans l'histoire de l'humain, au point qu'on peut se demander si elle ne rend pas compte d'une part de la barbarie moderne

    Michel S. Levy

     

     

     

    J'anime une

    " La place des pères et des mères

    pour faire intégrer les limites "

    le 31 mars à 18.30 à Courthézon (84)

     

     

     

    14/03/15 

    #Education#enseignement J'écris un nouveau livre "pour que nos enfants puissent apprendre à l' #école "

    pour les #parents les #enseignants

     

    ~#éducation Il nous faut donner des racines et des ailes à nos enfants pour éviter qu'ils ne deviennent des #fascistes ou des #djihadistes

     

    #Parentalité L'enfant a besoin que se jouent les fonctions de père et mère pour pouvoir intégrer les limites et apprendre à vivre en société

     

     

    Question : le fait de naître dans un corps de femme ayant le potentiel de mettre des enfants au monde d'une personne du même sexe, alors que le garçon naît dans un corps d'homme d'une personne de l'autre sexe (sans que ce soit une discrimination sexiste) n'a-t-il pas au moins autant d'influences sur les comportements que le fait d'offrir une poupée à une fille et un camion à un garçon ?

     

     

    13/03/15

    @vousnousils #EgalitéFH Sur les 150 000 jeunes sortant chaque année sans aucune qualification de l' #école plus de 100 000 sont des garçons

     

    @Elysee @fhollande  Ce n’est pas l’ #égalité qui fait avancer la société mais l'égalité en droits. Nuance de taille  http://www.paristribune.info/L-egalite-hommes-femmes-une-revendication-sexiste-_a7554.html 

     

    @jjqueyranne  Ne pas faire de #discrimination serait de lutter contre les #violences faites aux femmes et aux hommes #egaliteFH 

     

    Nier et donc ne pas gérer la différence des #sexes au nom de l' #égalitéFH favorisent la montée du #sexisme et des mouvements réactionnaires

     

    En multipliant les #réformes

    pour que l' #élève soit motivé

    il lui est donné des raisons de ne pas l'être

    et ainsi de ne pas travailler.

     

     

    08/03/15

     

    Le 8 mars

    Pour une journée

    de la paix entre les femmes et les hommes 

    en France

    Contre une guerre des sexes

    entre de « gentilles » femmes « victimes » 
    et de « méchants » hommes « dominants »

    Non 25% n’est pas l’écart de salaire FH pour le même temps de travail, 
    pour le même emploi,

    pour les mêmes qualifications … !


    (Ne serait-ce pas plus opportun de s’indigner des salaires de 500 fois le salaire minimum ?)

    Non les femmes ne sont pas les seules à être victimes des violences conjugales !

    Non ce n’est pas en déniant les différences F/H que l’on améliore le « vivre ensemble »

    Egalité hommes/femmes : une revendication sexiste ! ! !

    http://www.paristribune.info/L-egalite-hommes-femmes-une-revendication-sexiste-_a7554.html  

     

     

    07/03/15

    #8mars#EgalitéFH « on peut chercher longtemps l'égalité, on ne la trouvera jamais ailleurs que dans le fantasme. » Michel-S Levy

     

    La différence dérange. Dire pour se rassurer qu'il n'y a pas de différence ou que celle de l'autre est mauvaise = #sexisme ou #racisme 

     

     

    05/03/15

     

    #EgalitéFH #EgalitéProfessionnelle 

     

    Trop d'inégalités persistent :

     

     

    des salaires de 500 fois le salaire minimum,

     

    ça c’est  inadmissible ! 

     

     

    @galitee Quand les dérives #féministes favorisent la montée du #machisme, du #sexisme et de l'extrême droite #FN jeangabard.com/site/Livre.html

     

     

     

     

    19/02/15

     

    Les garçons sont-ils en danger ?

     

    Il est temps de s'apercevoir de la réalité. Ce que dit Stéphane Clerget * : "les garçons sont en manque de repères masculins", je le disais déjà dans mon essai « Le féminisme et ses dérives ... » publié en 2006 et réédité en 2012.

     

    Le chapitre 6 de la 3ème partie s'intitule : "Des enfants peu initiés qui s'auto-initient " et le chapitre 8 "L'idéologie féministe mère du machisme !" .

     

    Pour rechercher une égalité impossible on élève les garçons comme s'ils étaient déjà des adultes capables de prendre du recul sur leur identité d'homme alors que cette identité est extrêmement fragile et que tout est fait pour la fragiliser.

     

    Il ne faut pas s'étonner si lorsqu'ils arrivent à l'adolescence, ils ont besoin, pour compenser l'image d'homme valorisé qu'ils n'ont pas eu, de s'inventer un modèle qu'ils trouvent dans la caricature de l'homme. Et cette caricature de l'homme c'est un macho, un nazi, un djihadiste ...

     

    Ce que dit Stéphane Clerget après bien d'autres, faudra-t-il le dire encore longtemps pour que ce soit pris en compte ?

     

     

    http://rue89.nouvelobs.com/2008/06/30/montee-du-machisme-et-derive-du-feminisme-comment-lutter

     

     

    *http://www.francetvinfo.fr/societe/debats/debat-les-garcons-sont-ils-en-danger_828457.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20150219-[lesimages/image0

     

     

    18/02/15

    @leJDD Pour lutter par les savoirs contre l'ignorance il ne faut pas ignorer ce qui empêche de transmettre le savoir http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html

     


    @Sergiuspneumus

     

     Il n'y a plus d'expert

     

    Il n'y a plus que des ex pères

     

    !vimeo.com/user12224338/r…

     

     

    14/02/15

     

    Tant que l'on parlera d'évaluation des élèves ces derniers ne seront pas respectés. Dire qu'un élève est mauvais est inadmissible de même que (mettre des bonnes notes pour pouvoir) dire que l'élève est un bon élève !

    Dans une démocratie  et particulièrement à l'école de la démocratie, il est interdit de juger les élèves. Seules leurs productions peuvent être jugées. Même avec une mauvaise note l'évaluation peut être bienveillante si la note permet de montrer ce qui va et ce qui ne va pas et si l'enseignant est disponible pour l'aider à faire la correction.

     

    Accorder autant d'importance à l'évaluation et au découragement possible des élèves  c'est leur donner des raisons de ne pas être motivés pour travailler

     

    http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html 

     

     

     

     

    13/02/15 

     

    Quand Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale revient sur la notion de « genre » et dit :

     

    « Le genre est un outil conceptuel utilisé par les chercheurs qui travaillent sur les rapports entre les sexes pour démontrer tout ce qui, dans les inégalités, relève de la construction sociale. Ces chercheurs nous éclairent et j’estime cet apport indispensable. Les sexes ne sont pas interchangeables. Il y a une différence, qui ne justifie pas une hiérarchie. »

     

    On ne peut être que d’accord avec elle.

     

    Quand elle prend des positions comme si elle avait dit, avec d’autres :

     

    .

    « Le genre est un outil conceptuel utilisé par les chercheurs qui travaillent sur les rapports entre les sexes pour démontrer que toutes les inégalités, relèvent de la construction sociale. Ces chercheurs nous éclairent et j’estime cet apport indispensable. Les sexes sont interchangeables. Il y a une différence, qui ne justifie pas une hiérarchie. »

     

     

    Ce n’est plus OK !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le 18 juin 2014 j’intervenais à Carcassonne

    au Colloque  « Jeux dangereux et harcèlement en milieu scolaire et extra-scolaire »

    organisé par   SosBenjamin CCCD 

     

     

    Ci-dessous la question que je posais en introduction

     

    Il y a toujours chez les enfants des malaises, de l’inconscience, de l’agressivité qui leur font prendre des risques inconsidérés, adopter des attitudes violentes… Mais aujourd’hui ce phénomène prend de l’ampleur et les conséquences sont de plus en plus dramatiques.

    Ce phénomène est d’autant plus complexe qu’il accompagne une crise de l’ensemble de la société dite post-moderne.

    Il ne s’agit pas de culpabiliser les éducateurs dans leur fonction d’éducation. Il ne s’agit pas non plus de se déresponsabiliser en accusant un monde dont nous ne ferions pas partie car il y a bien dans la société que nous construisons tous les jours, tous les ingrédients pour favoriser ces drames que nous déplorons. Les causes sont lointaines, multiples, emmêlées, complexes. Elles sont même parfois difficiles à remettre en cause tant elles nous paraissent faire partie d’une évolution normale que nous prenons pour le progrès ! Une évolution que nous avons choisie et que nous cautionnons tous les jours.

    Nous sommes en effet en présence d’une jeunesse qui,  en général, a peu de tolérance à la frustration, qui est de plus en plus dépressive, angoissée. C’est une population qui doit s’inventer ses propres valeurs parce que les adultes eux-mêmes n’en ont plus beaucoup et ne croient plus en l’avenir. Cela donne des enfants qui ont besoin d’attention et d’autonomie, qui ont besoin de constamment tester les limites et d’évacuer leur agressivité naturelle, qui ont besoin de sensations fortes, qu’ils peuvent trouver dans la prise de risque, dans l’affrontement, dans la violence qu’ils infligent aux autres ou à eux-mêmes.

    Cette jeunesse a besoin pour se sentir exister de reconnaissance, de sens qu’elle ne trouve plus dans la famille et la société hésitantes ou « surprotectrices », où les transgressions ne sont pas toujours sanctionnées par des adultes soucieux d’éviter les conflits.

     

    Ces jeunes à l’identité fragile ne manquent-ils pas de repères et n’est-ce pas tout simplement parce qu’ils manquent de père ? 

  • Je suis CHARLIE

    "Je suis CHARLIE"

     

    30/01/15 Mes derniers tweet

    30/01/15

    @fautpaspousser @fxbellamy @Lopinion_fr L' #école ne peut transmettre les savoirs que si les parents lui donnent l' #autorité pour le faire

    @Min_Agriculture @EducationFrance Il n'y a bien que dans l'enseignement agricole que l'on soigne la culture et pas seulement l'élevage

    @FigaroVox Prob Cela fait 40 ans que l' Ecole se modernise et la motivation des élèves est inversement proportionnelle à cette modernisation

    @infosgen @EducationFrance @fredericseve L' #Ecole en 1° ligne pour être critiquée, en dernière pour être soutenue http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html 

     

    @najatvb Enseigner la Shoah à l' #école c'est très bien. Etre écouté par les #élèves ce serait  beaucoup mieux http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html 

     

    @najatvb Bravo pour votre soutien à l #'école

     

    29/01/15

    @najatvb On ne peut pas vouloir éduquer les #enfants et à la fois défendre l'idéologie du #genre qui annule les fonctions de père et de mère

    Tant que les enfants ne sont pas vraiment éduqués dans la famille, l' #école ne peut pas les éduquer ni les instruire http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html

    Tant que l'on suit l'idéologie du #genre (qui dénie la différence des sexes), les enfants ne peuvent être vraiment éduqués dans la #famille

    @franceinfo@louis_aliot Comment l' #école pourrait-elle éduquer des enfants que des parents n'ont pas éduqués ? podcastjournal.net/TRIBUNE-Refond

    @vousnousils Avec l'éducation que l'on donne (ou plutôt que l'on ne donne pas) à nos enfants, nous "fabriquons des futurs nazis #djihadistes

    @vousnousils Refondation de l' #école ou éducation des enfants -élèves ? podcastjournal.net/TRIBUNE-Refond

    @franceculture@jmblanquer@MichelLussault Pourquoi demander à l' #école ce que les parents n'arrivent plus à faire ? blogdejeangabard.hautetfort.com/index-1.html

    @nicolas_basse @Madamefigaro Les jeunes cherchent des repères qu'ils ne trouvent plus dans la #famille qui n'a plus d'autorité

     

    28/01/15

    @onrefaitlemonde@Clem_Autain Comment éduquer des enfants qui ne savent même plus écouter leurs parents qu'ils aiment

    @onrefaitlemonde@Clem_Autain#redoublement Est-ce motiver les élèves à travailler que de les récompenser alors qu'ils n'ont pas travaillé ?

    @onrefaitlemonde@jchribuisson Le redoublement n'est pas une réussite mais est-on obligé de réussir tout ce que l'on entreprend ?

     

    @EducationFrance #Mémoire ou émotion ? Des élèves pleurent en parlant de la #Shoah  8 jours après, les mêmes veulent exterminer les arabes ! 

     

     

     

    23/01/15

    @FinkielkrautAl Nous contestons l'autorité ne venant plus de dieu comme des adolescents incapables d'en voir son utilité comme des adultes

    @FinkielkrautAl Comment l'enseignant peu connu de l'élève pourrait-il avoir plus d'#autorité que les parents aimés qui n'en ont plus ? #DPDA

    @NajouaElatfani Non à toute #islamophobie, à tout #racisme, à tout #sexisme, à toute #homophobie, à toute atteinte à la #démocratie

    @NajouaElatfani Qd les parents donnent envie à l'enfant de travailler à l'#école, les difficultés sociales ne sont plus insurmontables #DPDA

    22/01/15

    @EducationFrance La #laïcité consiste aussi à ne pas enseigner à l' #Ecole la nouvelle #religion qu'est devenue l'idéologie du #genre

    @gouvernementFR#DPDA Quand va-t-on former les enseignants les parents les politiques a ne pas suivre des idéologies égalitaristes douteuses

    #DPDA On a tout fait pour enlever l' #autorité au père dans la famille et on voudrait que les enfants respectent l'autorité de l'enseignant

    #DPDA Le père qui n'a pas l'autorité dans la famille ne peut pas apprendre à l'enfant à respecter les autorités psychasoc.com/Textes/La-plac

    #DPDA Il y a un jeu à respecter pour que l'homme et la femme puissent jouer les fonctions symboliques de père et mère et avoir de l'autorité

    @FinkielkrautAl Il y a dans l'Education Nationale et en général un refus de se donner les moyens d'éduquer.

    Le respect des #autorités à l' #Ecole s'apprend dans la #famille où doivent se jouer les fonctions symboliques de père et de mère

    Responsabilité de l'apprentissage du #respect de l' #autorité aux enseignants quand tout a été fait pour l'enlever au père dans la famille !

    @najatvb L'apprentissage du #respect des #autorités commence avec le respect de la fonction de #père dans la famille

    20/01/15

     

    Le #féminisme doit avancer en corrigeant ses dérives ! N'en faisons pas une nouvelle #religion avec ses #intégristesblogdejeangabard.hautetfort.com/archive/2014/0

     

     

     

    le 15/01/15 Mes derniers tweet post

     

    15/01/15

    francetv info   Dans notre société de plus en plus féminisée, le garçon, maintenu dans la fusion maternelle, ne souffre pas d’une "overdose" d’ordre masculin mais d’absence de "père" et de repères. Incapable de sortir de l’enfance, il n’a pas acquis une identité d’homme suffisamment solide pour pouvoir accepter la différence. Arrivé à l’âge où il devrait commencer à assumer la castration, il est encore en plein refoulement et a toujours besoin d’inférioriser les femmes pour pouvoir exister. Alors qu’il devrait être en mesure de "tuer le père", il doit s’en inventer un et il se "bricole" ce qui devient une caricature.

    Comme de nombreux Allemands au père humilié par la révolution industrielle, par la défaite, par le diktat de Versailles, par le chômage…, des garçons ont besoin, aujourd’hui, pour se sentir des hommes, de se comporter en macho en nazi. Lorsque la fragilité de l’identité sexuelle rencontre la perte d’une identité nationale, il ne faut donc pas s’étonner si certains essaient de justifier leur machisme par une dose de religion ou de nationalisme et deviennent djihadistes  ! jeangabard.com

     

    14/01/15

    @Educ_Populaire@weblaligue@humanite_fr La fonction de père a été mal jouée Des #féministes n'en veulent plus. Résultat : manque de repère

    @Educ_Populaire@weblaligue@humanite_fr Certains féministes sont dans la pensée unique et n'acceptent pas la moindre critique (tjs réac.)

    @weblaligue@najatvb Pourquoi l'enfant écouterait-il une morale venant d'enseignants dévalorisés plus que des parents qu'il n'écoute pas

    @weblaligue@LigueParis@Anacej L'éducation sans père fabrique des enfants sans repère qui ne sont pas #Charlie et peuvent être #jihadistes

    @weblaligue@xporte L' #Ecole ne pourra être efficace que lorsque les enfants intégreront les limites dans la famille où il y a un " #Père "

    @najatvb L'Ecole relèvera les défis éducatifs scolaires citoyens quand les enfants auront intégré les limites, avec un #Père dans la famille

    @najatvb L'éducation sans père (manque d'éducation) que nous donnons à nos garçons en fait des nazis des #jihadistes

    Par crainte d'en faire des mâles, l' #éducation sans #père donnée à nos garçons en fait des clients pour les mouvements #nazis, #jihadistes

    13/01/15

    Comme des Allemands au père humilié, des garçons ont besoin, aujourd’hui, pour se sentir des hommes, de se comporter en nazi, en jihadiste !

    12/01/15

    Il serait temps de s'attaquer aux véritables causes de la montée du #machisme de l'#intégrisme du #FN : rue89.nouvelobs.com/2008/06/30/mon

    @senateur61 Pour certains il ne faut pas critiquer l'#Islam, pour d’autres, le #féminisme Serait-il devenu la nlle croyance et #intégrisme ?

    #JeSuisCharlie Pour que la réflexion suive les émotions  Qu'elles n'aboutissent pas comme celles de 07/1998 et de 05/2002 à la montée du #FN

    @senateur61 Réflexion Je la propose depuis 20 ans sur les causes de la montée du #machisme de l'intégrisme du #FN : http://rue89.nouvelobs.com/2008/06/30/montee-du-machisme-et-derive-du-feminisme-comment-lutter 

     

    11/01/2015

    @Resol8 @LesEchos On peut contester les propos de #Zemmour et #Houellbeecq On doit respecter leur liberté de s'exprimer dans une démocratie

     

    @leplanning J’espère que le PFR est plus #jesuischarlie en 2015 qu'il ne l'était en 2014 quand il voulait m'empêcher d'animer une conférence 

     

    10/01/2015

    Même si je n'étais pas d’accord avec ce que vous dites, je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire (Je le disais déjà le 27/12)

     

    09/01/2015

    J'étais CHARLIE Je suis CHARLIE Je serai toujours CHARLIE

     

     

     

     

    le 08/01/15 Mes derniers tweet post

     

     

    08/01/15

    Je suis toujours CHARLIE

     

    07/01/15

    Nous sommes tous des Charlie

     

    06/01/2015 

    @BrunoMasure#Houellebecq#Zemmour révélateur d'une société qui ne croit plus en rien, qui aime plus les pensées suicidaires que les projets

    @chapeldominique @Le_Figaro @FigaroVox @SolangeBCh C'est plus facile de voir le mal et d'avoir l'esprit suicidaire que d'avoir des projets

     

    31/12/14

    @BienPensantBobo @RobinRobzz Lorsque la différence des sexes n'est pas assumée, l'autre différent devient inférieur ou malade et incapable

    @Francoiszero2 @BienPensantBobo Le conservatisme de la gauche n'est pas bon mais le retour en arrière est pire Il faut corriger et avancer

    @Mxmlcd C'est OK Etre pour ou contre #mariagepourtous est respectable Etre #homophobe ne l'est pas blogdejeangabard.hautetfort.com

    @Jionotz Etre homophobe c'est être au Moyen-Age. Etre pour le #mairagepourtous c'est être resté en 1970 alors qu'on est au XXIème s. !

     

    29/12/14

    Après la révolution qui a mis en place le #patriarcat et la révolution #féministe qui l'a contesté, il nous faut faire une 3ème #révolution

     

    28/12/14

    Etre différent n'est pas une mauvaise chose mais la différence a tendance à nous gêner parce qu'elle crée de l'insécurité : s'il y a possibilité d'être différent je ne suis plus certain d'être comme il faut. Et on ne peut pas savoir qui l'on est puisque l'on n’est jamais pareil... La solution n'est pas en nous, elle est toujours dans la relation : entre deux. C'est le va et vient qui fait la jouissance !

    Tte différence des sexes provient-elle d'une construction sociale et de discriminations sexistes? Si #théoriedugenre : différence=#sexisme !

    Se complaire ds la crise d'ado actuelle n'est pas la solution Revenir en arrière ds l'enfance (cf #Zemmour) non plus Il faut devenir adulte

     

    27/12/14 

    @ELevyCauseur #Zemmour  Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire

    @Foxity78 La réaction aux idées réactionnaires est toujours de la réaction alors qu'il faudrait de l'action

    @C_ATLAN_TAPIERO la censure est un aveu de faiblesse quand on ne sait plus critiquer

    @LePoint @JeromeBegle Débattre c'est accepter de se poser des questions sur ses propres idées. Toute idée différente favorise la réflexion

     

    23/12/14

    @OREGAND1 Les mamans qui allaitent est aussi un très mauvais exemple qui ne respecte pas l' #égalitéFH Il faut lutter contre ce #stéréotype

    @LB2S@jeromegodefroy@franceinter Jacques #Chancel écoutait et mettait en valeur l'interviewé et non l'intervieweur ...

     

    L’OBS Le Plus

    Critiquer ceux qui critiquent la "théorie du genre" en leur prêtant des idées qui ne sont pas les leurs n'est plus de la critique mais de la diffamation.

    Comment dire à la fois que l'idéologie du genre ne serait pas l'idéologie dominante et que les Etudes de genre ont leur place dans toutes les Universités ? N'est-ce pas un peu contradictoire ?

    Critiquer le postulat des Etudes de genre qui est pris pour une théorie ne veut pas dire revenir en arrière mais au contraire sortir de la réaction primaire au patriarcat, sans doute nécessaire dans les années 1960 mais dépassée aujourd'hui. L'action ne doit plus être aujourdh'ui une réaction mais une création !

    Critiquer le postulat des Etudes de genre ce n'est pas refuser de lutter contre les discriminations mais ne pas faire de l'égalité en droits un droit à l'égalité : certes il y a des différences de comportements et de résultats entre les hommes et les femmes dues à une construction sociale sexiste et à des discriminations (qu'il faut combattre) mais il y en a aussi qui ont d'autres causes : le biologique et la structuration différente du psychisme. Ces différences ne sont donc pas des injustices. Et ces différences sont assez logiques. Si donner une poupée à un enfant peut effectivement l'influencer, comment le fait de naître dans un corps de femme d'une personne du même sexe ou dans un corps d'homme d'une personne du sexe opposé pourrait il être moins important et moins influencer la fille et le garçon ?

    Alors il faut sortir du dualisme et accepter un véritable débat sans, comme dans les régimes totalitaires, classer automatiquement toute personne critique dans le camp du mal le plus absolu ...

     

    22/12/14

    @LionelJeanjeau #Zemmour (#réactionnaire) n'aurait pas autant de succès si d'autres arrêtaient de se complaire dans la crise d'adolescence 

     @LionelJeanjeau C'est en corrigeant les dérives #féministes que l'on rendra les propos réactionnaires de #zemmour encore plus déplacés

    Quand on est démocrate, on ne peut qu'être féministe et réclamer la liberté et l'égalité en droits. Mais quand des féministes confondent la liberté avec la toute-puissance et l'égalité en droits avec le droit à l'égalité, il y a dérive ! http://www.jeangabard.com/site/

     

     

  • Le "mariage pour tous" ?

     

    "La seule façon de renforcer notre intelligence est de n'avoir d'idées arrêtées sur rien, de laisser l'esprit accueillir toutes les pensées."
    John Keats

     

     

     

     

    "Mariage pour tous" ?

     

    La revendication d’égalité est récurrente depuis une cinquantaine d’année et c’est au nom de cette égalité que l’adoption de la loi Taubira a semblé s’imposer pour une majorité de la population. Alors que la démocratie ne cesse de progresser,  il existe pourtant des récalcitrants pour qui toutes les conditions ne sont pas réunies pour se déclarer favorables au « mariage pour tous ».

     

    Il serait possible d’être favorable au « mariage pour tous » si le fait de l’appeler mariage ne permettait l’adoption pour tous et de plus l’adoption de tous les enfants quel que soit leur âge.

     

    Il serait possible d’être favorable à l’adoption pour tous si la différence des sexes n’était pas perçue par les petits enfants ou si elle n’avait aucune importance pour eux.

     

    Il serait possible d’être favorable au mariage pour tous s’il y avait ou s’il devait y avoir égalité entre un homme et une femme.

    La revendication de l’égalité femme/homme est devenue une exigence. Cette égalité n’est pourtant pas inscrite dans la Déclaration des Droits de l’Homme. Celle-ci proclame en effet : « Les Hommes naissent libres et égaux en droits ». Elle ne dit pas : « les Hommes naissent libres et égaux ». Remarque mesquine pourrait-on dire dans la mesure où nous faisons presque tous ce raccourci  commode. Un simple oubli qui serait en effet sans conséquence s’il n’exprimait pas la revendication d’une autre égalité, d’une égalité réelle ? 

     

    Il serait possible d’être favorable à une égalité femme/homme réelle si le postulat des Etudes de genre était une théorie.

    La demande d’égalité réelle peut avoir deux significations.

    Elle peut être l’exigence que l’égalité en droits soit respectée et c’est alors ce que nous devons tous souhaiter. La démocratie doit, certes, assurer le respect des lois, mais nous savons tous qu’il y a toujours des individus qui arrivent à passer outre, qu’il y a toujours eu et qu’il y aura malheureusement toujours des personnes qui voleront, qui tueront et qui ne respecteront pas les droits des autres.

    La demande d’égalité réelle peut être aussi la demande d’une égalité totale qui se traduise au niveau des comportements et des résultats. Cette exigence d’égalité réelle suppose qu’il n’y ait plus d’atteinte aux droits, que toutes les inégalités soient uniquement dues à une construction sociale sexiste et à des discriminations appelées à disparaître rapidement. C’est ce qu’avancent les Etudes de genre. Celles-ci ont connu un grand succès en luttant contre le sexisme de conservateurs qui justifiaient les injustices par la nature. Elles mettent en évidence les différences d’éducation entre les garçons et les filles, l’influence des stéréotypes, qui expliqueraient leurs performances inégales. Ces études ont fait avancer la démocratie mais elles n’arrivent cependant pas à prouver vraiment les liens entre construction sociale et résultats et encore moins à prouver qu’elle serait seule en cause. Malgré cela le postulat de départ des Etudes de genre est pris pour une conclusion alors que pour être une théorie scientifique il aurait au moins fallu vérifier s’il n’y avait pas d’autres causes possibles à ces inégalités. Le fait de donner une poupée comme jouet à une petite fille peut en effet l’influencer, mais rien ne prouve que sans cela elle n’aurait pas envie de s’occuper des enfants, simplement pour imiter sa maman ou une autre femme qu’elle a pu voir donnant le sein à un bébé (et ce rôle ne peut être jugé sexiste).

     

    Il serait donc possible d’être favorable à une théorie des Etudes de genre s’il n’y avait pas d’autres causes aux inégalités de comportements et de performances que la construction sociale et les discriminations mais ce n’est absolument pas certain. Les découvertes récentes semblent en effet montrer que d’autres éléments, indépendants du social, contribuent aux différences homme/femme.

    Il est encore impossible de montrer de façon certaine tous les liens entre la biologie et les comportements des hommes et des femmes mais les sciences commencent à mettre à jour les différences hormonales et l’influence de ces dernières. On sait par exemple que l’ocytocine qui envahit la femme dans la période de l’accouchement favorise « l’accordage »  nécessaire avec le petit enfant dans la période dite d’assertivité. On connait aussi beaucoup mieux les effets de la testostérone sur le petit garçon à la naissance et tout au long de sa vie. Boris Cyrulnik rappelle que lorsque l’on injecte de la testostérone à une femelle chimpanzé cela peut suffire à la faire changer d’objet pour jouer. Il est certes encore difficile de mesurer les effets produits par les taux de ces hormones sur le comportement de l’homme et de la femme mais il paraît de plus en plus difficile de les nier.

    Il existe une autre différence qui n’est jamais pris en compte par les études de genre : la différence de structuration du psychisme. Etant du domaine de l’inconscient, elle est, certes, par définition non maîtrisable. Elle ne peut par contre être soupçonnée de dépendre de la culture et elle est difficile à ne pas envisager. On ne peut en effet nier que le fait de naître dans un corps de femme d’une personne du même sexe pour une fille ou dans un corps d’homme d’une personne du sexe différent pour un garçon (et ceci est totalement indépendant du lieu et de l’époque) puisse avoir un effet au moins aussi important que le fait de donner une poupée en cadeau. D’autres parts si l’on s’accorde, avec la très grande majorité des psychologues, pour dire que les petits enfants, garçons ou filles ont pour première référence la maman et que celle-ci est perçue comme une divinité toute-puissante on peut aussi imaginer qu’ils ne vont pas réagir pareillement si elle est petite fille appelée à devenir comme sa maman ou s’il est petit garçon devant trouver un modèle ailleurs. Si la petite fille peut continuer à s’identifier à sa maman avec la certitude de devenir (si ce n’est d’être déjà) toute-puissante comme elle, le petit garçon va devoir renoncer à son premier modèle et à la possibilité d’être tout-puissant. Cette castration psychique primaire est absolument terrible. Elle l’oblige, pour pouvoir subsister, à refouler cette souffrance et il est possible d’imaginer que ce refoulement l’incite à dénigrer ce qu’il ne peut plus être et devenir : une fille, une femme, une divinité.

    S’il est possible de trouver d’autres causes aux inégalités homme/femme cela veut dire que les études de genre se trompent, qu’il reste des différences inhérentes à la condition humaine et qui n’ont rien d’injustes. Il n’y a donc pas d’égalité homme/femme (et n’est-ce pas d’ailleurs la raison pour laquelle il est absolument nécessaire qu’il y ait égalité en droits).

     

    S’il n’y a pas égalité entre l’homme et la femme il n’y a donc pas d’égalité entre le père et la mère. L’un ne peut remplacer totalement l’autre. Mais est-ce si important ?

    Un enfant a besoin d’affection et celle-ci peut être différente suivant le sexe et aussi suivant les personnes. Le plus important reste que l’enfant puisse en avoir.

    Il est aussi possible d’admettre que l’enfant puisse trouver l’image de la femme ou de l’homme dans l’entourage, même si ce n’est pas la situation la plus facile.

    Si le rapport parents/enfants n’existe qu’au niveau imaginaire et affectif, il est donc possible de dire que la différence des sexes n’a pas tellement d’importance pour l’éducation de l’enfant.

    Mais n’y a-t-il pas aussi un niveau symbolique ?

    Le père et la mère ne sont en effet pas semblables et il est même plus que probable que les petits enfants ne les perçoivent pas tels qu’ils sont.

    Les petits enfants apparemment perçoivent leur maman qui leur a tout apporté avant et même encore après la naissance, comme toute-puissante et il est logique de penser que la petite fille qui pense être comme elle, puisqu’étant du même sexe, n’aura pas avec elle le même rapport que le petit garçon qui a découvert qu’il ne pourra jamais l’être.

    Percevant leur maman toute-puissante, les enfants peuvent surtout difficilement intégrer la loi venant d’elle. Comment en effet les limites pourraient-elles être intégrées lorsqu’elles viennent d’une personne semblant n’en avoir aucune. S’ils peuvent éventuellement lui obéir, ce n’est pas par respect pour la règle qu’elle pose mais par crainte de perdre son amour. Quand la maman veut limiter la petite fille qui se perçoit elle-même toute-puissante, celle-ci ne se sent pas concernée. Quand elle veut limiter le petit garçon qui n’a pas encore assumer sa non toute-puissance, lui ne cherche en fait qu’à l’imiter pour lui faire plaisir et espérer rester comme il la perçoit : sans limite. La loi décidée ensemble, ne peut donc être intégrée que si elle vient d’un homme qui n’est pas perçu comme un dieu et qui accepte de l’assumer et de la dire. Ce dernier ne sera-t-il encore écouté comme un père que si la maman lui donne cette fonction en prenant elle-même la fonction de mère. Pour cela elle doit montrer à l’enfant qu’elle écoute l’homme qu’elle aime et donc qu’il mérite d’être écouté. Elle fait ainsi voir au petit enfant, qui à cette âge ne veut pas l’admettre, qu’elle n’est pas toute-puissante puisqu’elle manque et désire ailleurs. Ce n’est que si la loi est ainsi intégrée que la mère pourra plus tard (vers 5, 6 ou 7 ans selon des neuropsychiatres) être comprise comme une personne pouvant parler au nom de la loi et que celle-ci pourra aussi être posée par d’autres adultes et intégrée

    Les petits enfants ont besoin que la loi soit dite par un homme nommé par la maman pour pouvoir être intégrée. Cela veut dire que les fonctions de père et de mère sont indispensables et  non  interchangeables. Elles ne peuvent être jouées que par un homme et une femme qui s’aiment assez pour être crédibles. Françoise Dolto ne disait-elle pas que le père est l’homme qui rend la maman heureuse ?

     

     

    S’il est une chose que des petits enfants puissent vivre apparemment épanouis dans des familles où les fonctions de père et de mère se jouent mal voire pas du tout, il en est une autre de les priver délibérément de ces fonctions symboliques nécessaires pour acquérir des repères solides. Peut-on prendre le risque d’en faire des enfants-rois hors la loi, plus ou moins difficiles à  gérer, plus ou moins tyranniques avec leur entourage, des enfants incapables d’assumer les frustrations et qui n’ayant pas de modèle de père suffisamment solide risquent, comme de jeunes Allemands dans les années 1930, d’en inventer une caricature qu’ils trouveront chez le nazi, chez le chef de bande, chez le gourou, chez le chef nationaliste, chez le jihadiste...

     

    Il paraît donc difficile de cautionner une institutionnalisation d’une situation où des petits enfants pourraient grandir dans des  familles où il y aura deux mamans ou deux papas qui peuvent être certes assez aimants mais où il n’y aura jamais la possibilité que les fonctions de père et de mère puissent se jouer.