Il faut bien voir que la tendance actuelle d'uniformisation sexuelle est inouïe dans l'histoire de l'humain, au point qu'on peut se demander si elle ne rend pas compte d'une part de la barbarie moderne
Michel S. Levy
J'anime une conférence-débat
" La place des pères et des mères
pour faire intégrer les limites "
le 31 mars à 18.30 à Courthézon (84)
14/03/15
#Education#enseignement J'écris un nouveau livre "pour que nos enfants puissent apprendre à l' #école "
pour les #parents les #enseignants
~#éducation Il nous faut donner des racines et des ailes à nos enfants pour éviter qu'ils ne deviennent des #fascistes ou des #djihadistes
#Parentalité L'enfant a besoin que se jouent les fonctions de père et mère pour pouvoir intégrer les limites et apprendre à vivre en société
Question : le fait de naître dans un corps de femme ayant le potentiel de mettre des enfants au monde d'une personne du même sexe, alors que le garçon naît dans un corps d'homme d'une personne de l'autre sexe (sans que ce soit une discrimination sexiste) n'a-t-il pas au moins autant d'influences sur les comportements que le fait d'offrir une poupée à une fille et un camion à un garçon ?
13/03/15
@vousnousils #EgalitéFH Sur les 150 000 jeunes sortant chaque année sans aucune qualification de l' #école plus de 100 000 sont des garçons
@Elysee @fhollande Ce n’est pas l’ #égalité qui fait avancer la société mais l'égalité en droits. Nuance de taille http://www.paristribune.info/L-egalite-hommes-femmes-une-revendication-sexiste-_a7554.html
@jjqueyranne Ne pas faire de #discrimination serait de lutter contre les #violences faites aux femmes et aux hommes #egaliteFH
Nier et donc ne pas gérer la différence des #sexes au nom de l' #égalitéFH favorisent la montée du #sexisme et des mouvements réactionnaires
En multipliant les #réformes
pour que l' #élève soit motivé
il lui est donné des raisons de ne pas l'être
et ainsi de ne pas travailler.
08/03/15
Le 8 mars
Pour une journée
de la paix entre les femmes et les hommes
en France
Contre une guerre des sexes
entre de « gentilles » femmes « victimes »
et de « méchants » hommes « dominants »
Non 25% n’est pas l’écart de salaire FH pour le même temps de travail,
pour le même emploi,
pour les mêmes qualifications … !
(Ne serait-ce pas plus opportun de s’indigner des salaires de 500 fois le salaire minimum ?)
Non les femmes ne sont pas les seules à être victimes des violences conjugales !
Non ce n’est pas en déniant les différences F/H que l’on améliore le « vivre ensemble »
Egalité hommes/femmes : une revendication sexiste ! ! !
http://www.paristribune.info/L-egalite-hommes-femmes-une-revendication-sexiste-_a7554.html
07/03/15
#8mars#EgalitéFH « on peut chercher longtemps l'égalité, on ne la trouvera jamais ailleurs que dans le fantasme. » Michel-S Levy
La différence dérange. Dire pour se rassurer qu'il n'y a pas de différence ou que celle de l'autre est mauvaise = #sexisme ou #racisme
05/03/15
#EgalitéFH #EgalitéProfessionnelle
Trop d'inégalités persistent :
des salaires de 500 fois le salaire minimum,
ça c’est inadmissible !
@galitee Quand les dérives #féministes favorisent la montée du #machisme, du #sexisme et de l'extrême droite #FN http://www.jeangabard.com/site/Livre.html
19/02/15
Les garçons sont-ils en danger ?
Il est temps de s'apercevoir de la réalité. Ce que dit Stéphane Clerget * : "les garçons sont en manque de repères masculins", je le disais déjà dans mon essai « Le féminisme et ses dérives ... » publié en 2006 et réédité en 2012.
Le chapitre 6 de la 3ème partie s'intitule : "Des enfants peu initiés qui s'auto-initient " et le chapitre 8 "L'idéologie féministe mère du machisme !" .
Pour rechercher une égalité impossible on élève les garçons comme s'ils étaient déjà des adultes capables de prendre du recul sur leur identité d'homme alors que cette identité est extrêmement fragile et que tout est fait pour la fragiliser.
Il ne faut pas s'étonner si lorsqu'ils arrivent à l'adolescence, ils ont besoin, pour compenser l'image d'homme valorisé qu'ils n'ont pas eu, de s'inventer un modèle qu'ils trouvent dans la caricature de l'homme. Et cette caricature de l'homme c'est un macho, un nazi, un djihadiste ...
Ce que dit Stéphane Clerget après bien d'autres, faudra-t-il le dire encore longtemps pour que ce soit pris en compte ?
http://rue89.nouvelobs.com/2008/06/30/montee-du-machisme-et-derive-du-feminisme-comment-lutter
18/02/15
@leJDD Pour lutter par les savoirs contre l'ignorance il ne faut pas ignorer ce qui empêche de transmettre le savoir http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html
Il n'y a plus d'expert
Il n'y a plus que des ex pères
14/02/15
Tant que l'on parlera d'évaluation des élèves ces derniers ne seront pas respectés. Dire qu'un élève est mauvais est inadmissible de même que (mettre des bonnes notes pour pouvoir) dire que l'élève est un bon élève !
Dans une démocratie et particulièrement à l'école de la démocratie, il est interdit de juger les élèves. Seules leurs productions peuvent être jugées. Même avec une mauvaise note l'évaluation peut être bienveillante si la note permet de montrer ce qui va et ce qui ne va pas et si l'enseignant est disponible pour l'aider à faire la correction.
Accorder autant d'importance à l'évaluation et au découragement possible des élèves c'est leur donner des raisons de ne pas être motivés pour travailler
http://www.podcastjournal.net/TRIBUNE-Refondation-de-l-ecole-ou-education-des-eleves_a15676.html
13/02/15
Quand Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale revient sur la notion de « genre » et dit :
« Le genre est un outil conceptuel utilisé par les chercheurs qui travaillent sur les rapports entre les sexes pour démontrer tout ce qui, dans les inégalités, relève de la construction sociale. Ces chercheurs nous éclairent et j’estime cet apport indispensable. Les sexes ne sont pas interchangeables. Il y a une différence, qui ne justifie pas une hiérarchie. »
On ne peut être que d’accord avec elle.
Quand elle prend des positions comme si elle avait dit, avec d’autres :
.
« Le genre est un outil conceptuel utilisé par les chercheurs qui travaillent sur les rapports entre les sexes pour démontrer que toutes les inégalités, relèvent de la construction sociale. Ces chercheurs nous éclairent et j’estime cet apport indispensable. Les sexes sont interchangeables. Il y a une différence, qui ne justifie pas une hiérarchie. »
Ce n’est plus OK !
Le 18 juin 2014 j’intervenais à Carcassonne
au Colloque « Jeux dangereux et harcèlement en milieu scolaire et extra-scolaire »
organisé par SosBenjamin CCCD
Ci-dessous la question que je posais en introduction
Il y a toujours chez les enfants des malaises, de l’inconscience, de l’agressivité qui leur font prendre des risques inconsidérés, adopter des attitudes violentes… Mais aujourd’hui ce phénomène prend de l’ampleur et les conséquences sont de plus en plus dramatiques.
Ce phénomène est d’autant plus complexe qu’il accompagne une crise de l’ensemble de la société dite post-moderne.
Il ne s’agit pas de culpabiliser les éducateurs dans leur fonction d’éducation. Il ne s’agit pas non plus de se déresponsabiliser en accusant un monde dont nous ne ferions pas partie car il y a bien dans la société que nous construisons tous les jours, tous les ingrédients pour favoriser ces drames que nous déplorons. Les causes sont lointaines, multiples, emmêlées, complexes. Elles sont même parfois difficiles à remettre en cause tant elles nous paraissent faire partie d’une évolution normale que nous prenons pour le progrès ! Une évolution que nous avons choisie et que nous cautionnons tous les jours.
Nous sommes en effet en présence d’une jeunesse qui, en général, a peu de tolérance à la frustration, qui est de plus en plus dépressive, angoissée. C’est une population qui doit s’inventer ses propres valeurs parce que les adultes eux-mêmes n’en ont plus beaucoup et ne croient plus en l’avenir. Cela donne des enfants qui ont besoin d’attention et d’autonomie, qui ont besoin de constamment tester les limites et d’évacuer leur agressivité naturelle, qui ont besoin de sensations fortes, qu’ils peuvent trouver dans la prise de risque, dans l’affrontement, dans la violence qu’ils infligent aux autres ou à eux-mêmes.
Cette jeunesse a besoin pour se sentir exister de reconnaissance, de sens qu’elle ne trouve plus dans la famille et la société hésitantes ou « surprotectrices », où les transgressions ne sont pas toujours sanctionnées par des adultes soucieux d’éviter les conflits.
Ces jeunes à l’identité fragile ne manquent-ils pas de repères et n’est-ce pas tout simplement parce qu’ils manquent de père ?