Je viens d'apprendre que mon livre ne sera pas publié fin avril mais plutôt au milieu du mois de mai.
Un mois et demi à attendre !
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Je viens d'apprendre que mon livre ne sera pas publié fin avril mais plutôt au milieu du mois de mai.
Un mois et demi à attendre !
Après La Cause des Hommes de Patrick Guillot, Le Musée de l’homme de David Abiker, Les Métamorphoses du masculin de Christine Castelain-Meunier, Le premier sexe de Eric Zemmour, mon livre apporte un autre point de vue sur le sujet des relations entre les hommes et les femmes entre le masculin et le féminin.
Les relations hommes-femmes, masculin-féminin, ont déjà fait l’objet de maints débats. Ceux-ci, en France, semblent être de moins en moins animés, tant est admise la nécessité d’aller vers un rapport d’égalité entre les sexes. En effet, à part quelques intégristes retardataires qui se cachent, l’immense majorité de la population se félicite des avancées de la libération féminine et se sent prête à poursuivre la marche vers l’égalisation. Le travail est encore long, mais ne pas s’inscrire aujourd’hui dans le mouvement progressiste et féministe, est devenu une marque d’immobilisme, d’obscurantisme et de collusion avec les ennemis de la démocratie. Dans ce contexte et alors que des intellectuels français sont accusés d’être « les nouveaux réactionnaires » pour avoir dénoncé les écarts d’un certain « droits-de-l’hommisme », n’est-ce pas une provocation et une folie suicidaire d’écrire sur les dérives féministes ? N’est-ce pas courir le risque d’être accusé de faire partie de « l’axe du mal » ?
Cette essai peut, certes, paraître déplacé pour des militantes qui luttent chaque jour contre les atteintes aux droits des femmes. Mais faut-il, parce que le machisme sévit encore et de façon scandaleuse, fermer les yeux sur les dérives féministes qui apparaissent et ne servent ni la cause des hommes ni celle des femmes ? …
Le débat, à condition qu’il ne s’enlise pas dans un manichéisme qui bloquerait toute réflexion, est pourtant absolument nécessaire…